En 1999, les médias parlaient de situations cataclysmiques suite au passage de l’an 2000.

Black out, chute d’avion, etc.

Heureusement, tout s’est bien passé et les spéculateurs s’en sont mis plein les poches. En tant qu’informaticien, je peux vous dire qu’il s’agissait d’une fraude. Des intervenants passaient sur tous les postes d’entreprises diverses et variées munies d’une disquette. Durée du traitement : 5 minutes par poste. Coût : 50 000 Francs jour. Ce programme enfantin simulait le passage à l’an 2000 et générait un rapport. Déjà à l’époque, la grande majorité des systèmes informatique étaient horodatés sur 4 chiffres Je passe sur les sites internet ; sans valeur, achetés des millions par divers organismes financiers.

Depuis 1971, différentes bulles spéculatives toujours de plus en plus grandes gonflent puis éclatent. La prochaine qui se dessine est celle du CO2 et plus généralement l’écologie.

Le réchauffement climatique dû à l’augmentation du CO2 serait-il une fraude tout comme le bug de l’an 2000 ?

A voir ceux qui promeuvent cette idée et la manière dont cela est dit, il est légitime de se poser la question.

Al Gore a certainement suivi ce précepte puisqu’il a été jugé et condamné pour aberration scientifique par une cour de justice britannique au sujet de son film « une vérité qui dérange. »

  • Le film prétend que la fonte des neiges au Mont Kilimandjaro est attribuable au réchauffement climatique alors que le consensus scientifique est qu’on ne peut rien affirmer de tel.
  • Le film suggère une interprétation des graphes montrant l’évolution des températures et du CO2 sur 650 000 ans, le jugement considérant que s’il y avait un large accord chez les scientifiques sur un lien entre les deux courbes, celles-ci ne prouvaient pas ce qu’affirme Gore. Personnellement, il faut aller plus loin. En effet, dans le film Al Gore utilise une échelle de l’ordre du millénaire, or si une échelle de l’ordre du centenaire est utilisée, la température augmente bien avant l’augmentation du CO2. Voilà une fraude caractéristique et honteuse. L’augmentation de la température sur le globe a permis aux espèces de se développer ce qui a entrainé une hausse du CO2 tout bonnement.
  • Le film lie l’ouragan Katrina au réchauffement climatique alors que l’opinion scientifique est qu’il n’y a pas de preuves suffisantes.
  • Le film montre l’assèchement du Lac Tchad et prétend que c’est une conséquence du réchauffement climatique, alors que les preuves sont là aussi insuffisantes.

  • Le film prétend qu’une étude montre que des ours polaires se sont noyés à cause de la fonte des glaces arctiques. Il apparait que la seule étude scientifique trouvée sur le sujet parle de quatre ours polaires noyés à cause d’une tempête.
  • Le film avertit (« threatens ») que le réchauffement climatique pourrait stopper le Gulf Stream et renvoyer l’Europe à l’âge de glace, alors que le GIEC considère comme très improbable un tel arrêt bien qu’il juge qu’il devrait ralentir.
  • Le film accuse le réchauffement climatique d’être à l’origine de la disparition d’espèces, dont la décoloration (« bleaching ») des récifs de corail alors que le rapport du GIEC affirme qu’il est difficile de séparer les différentes causes du blanchissement du corail.
  • Le film suggère que les calottes de glace du Groenland et de l’Ouest Antarctique pourraient fondre et entraîner une hausse alarmante du niveau des mers. Alors que le film semble suggérer une fonte dans un proche avenir, le point de vue général est que le Groenland ne pourra pas fondre avant des millénaires. Personnellement, je conseil aux lecteurs cette expérience de physique fondamentale : 1) Remplir un verre d’eau et mettez y un glaçon. 2) Notez précisement le niveau de l’eau. 3) attendez que le glaçon ait complètement fondu et vérifiez de nouveau le niveau de l’eau.
  • Le film prétend que la hausse du niveau des mers a causé l’évacuation de certaines îles du Pacifique en direction de la Nouvelle-Zélande, alors qu’aucune preuve d’une telle évacuation n’existe.

Mais le plus rigolo dans ce film n’est pas tant ces aberrations scientifiques mais il y a un passage très remarquable où Al Gore répond à son interlocuteur qu’il consomme du CO2 personnellement car il a une grande maison avec piscine, etc, etc. Mais comme il est responsable, il a souscrit des bons CO2 ce qui lui donnerait le droit de consommer.

Là où la fraude est manifeste, c’est qu’il oublie de dire qu’il est dirigeant de cette même société et qu’elle est évidement cotée en bourse. « Allez brave gens, souscrivez des droits de consommer du CO2 chez moi !!! Vous vous sentirez mieux ! ».

D’autres fraudes caractéristiques telle celle proférée par le Dr Jean Louis Etienne invité sur France 5 le 18/09/08 dans c’est dans l’air ou cet article du parisien pour le moins anxiogène :

http://www.leparisien.fr/societe/jean-louis-etienne-sauvons-l-arctique-17-09-2008-230928.php

Pourquoi lancez-vous aujourd’hui un appel à protéger la banquise arctique ?

Jean-Louis Etienne. Parce que, pour la deuxième année consécutive, la banquise estivale a fondu de façon spectaculaire au pôle Nord. Et à moins du retour d’un grand coup de froid, le processus de fonte de la glace arctique en été semble désormais irréversible. Or, si cette glace disparaît totalement, les conséquences ne se mesureront pas seulement au pôle Nord. C’est l’ensemble de la planète qui sera perturbé, et particulièrement l’hémisphère Nord.

C’est-à-dire ?

Si l’on affaiblit l’Arctique, on remet en cause l’équilibre entre la chaleur des tropiques et le froid des pôles. Dans ce cas, toute la machine climatique se dérègle et il faut s’attendre à davantage de chaos. Les conséquences sont déjà connues : il y aura davantage de cyclones, de tempêtes, d’inondations. »

La preuve de son alarmisme infondé avec cette  vidéo réalisée à partir d’images satellites.

Image de prévisualisation YouTube

Conforté par cet article : « 60 cm de glace en plus au Groenland depuis 11 ans »

http://www.agriculture-environnement.fr/spip.php?article51

Néanmoins et comme le refroidissement climatique semble arriver, des bémols s’inscrivent (« Et à moins du retour d’un grand coup de froid, le processus de fonte de la glace arctique en été semble désormais irréversible »).

Et des exemples de ce type, il y en a une myriade. Goebbels n’a qu’à bien se tenir…

Des détracteurs au sein même de la NASA :

Le principal défenseur du réchauffement planétaire anthropogénique au sein de la NASA, James Hansen, qui se trouve être aussi le conseiller scientifique d’Al Gore, a été publiquement blâmé le 15 janvier par son ancien supérieur à la NASA, John S. Theon.

Ce dernier a ajouté son nom sur une liste de plus de 650 scientifiques qui rejettent la fraude du réchauffement planétaire, initiative lancée l’année dernière par le groupe républicain de la commission sénatoriale sur les Travaux publics et l’Environnement. Dans sa lettre au sénateur James Inhofe, le dirigeant républicain de la Commission, l’ancien directeur de la NASA chargé de la recherche sur la météo et le climat, a salué l’« occasion d’ajouter son nom à ceux qui refusent de dire que l’homme serait à l’origine du réchauffement planétaire ».

John Theon précise que, contrairement à ce que prétend James Hansen, celui-ci n’a jamais été muselé à l’Agence spatiale, « même lorsqu’il transgressait la position officielle de la NASA sur les prévisions climatologiques (qui était que «nous n’en savions pas assez pour prévoir les changements climatiques ou l’impact de l’homme sur celui-ci»). Ainsi, Hansen a mis la NASA dans l’embarras en affirmant, lors de sa déposition au Congrès en 1988, l’existence d’un réchauffement planétaire. »

Pour John Theon, les modèles climatologiques sont inutiles. « Mon avis sur le changement cli­matique anthropogénique est que les modèles ne simulent pas de façon réaliste le système du climat, parce qu’il existe beaucoup de processus importants, d’échelle inférieure à la grille, que les modèles répliquent mal, ou omettent tout bonnement. De plus, certains scientifiques manipulent les données observées pour justifier les résultats de leurs modèles, sans n’expliquer ni ce qu’ils ont modifié dans leurs observations, ni selon quels critères ils l’ont fait. Ils se refusent à rendre leurs travaux transparents afin que d’autres scientifiques puissent les répliquer de manière indépendante. C’est tout à fait contraire à la manière dont la science devrait procéder. Ainsi, il n’existe aucun argument rationnel justifiant le recours à des prévisions de modèles climatiques pour déterminer la politique », conclut-il.

Mais alors, quels sont les racines de ces « montages scientifiques » ?

En 1975, un an avant la publication dans Science de l’article promouvant la théorie orbitale du climat, une conférence organisée par l’Association américaine pour le Progrès de la science (AAAS), sous la présidence de Margaret Mead, avait scellé le sort de la théorie astronomique.

Pour amener l’opinion publique à rejeter le développement scientifique, plutôt que d’évoquer une nouvelle glaciation, il était bien plus efficace de mettre le danger du réchauffement climatique sur le compte de l’activité industrielle humaine, notamment le gaz carbonique libéré par les combustibles fossiles.

Cette conférence avait pour thème « L’atmosphère est en danger et pose des dangers ». Les scientifiques, y laissait-on entendre, devaient moins se préoccuper d’idées complexes et de précision, que de simplifier, voire, le cas échéant, fausser leurs conclusions, afin de mieux mobiliser les décideurs politiques et l’opinion publique contre les dangers imputés aux gaz à effet de serre.

Parmi les participants, il y avait trois élèves du malthusien Paul Ehrlich. L’un d’entre eux, un climatologue de Stanford, Stephen Schneider, reflètera l’esprit de cette conférence dans une interview accordée en 1989 au magazine Discover : « Pour captiver l’imagination du grand public, (…) nous devons offrir des scénarios qui font peur, faire des déclarations dramatiques simplifiées et éviter de mentionner les doutes que nous pouvons avoir. (…) Chacun d’entre nous doit décider du bon équilibre entre efficacité et honnêteté. » Aveu qui en dit long sur l’éthique des protagonistes du réchauffement climatique…

Voilà l’origine de la campagne d’Al Gore et Cie. Une petite recherche sur google vous démontrera l’ampleur de la campagne que mène Stephen Schneider.

Place à la science !!!

Pour les personnes souhaitant approfondir le sujet, je les invite à consulter le site suivant :

http://www.meteoetclimat.com/

Plus particulièrement : http://www.meteoetclimat.com/5-categorie-1177616.html

Le webmaster du site reste factuel et se pose de vraies questions sans tomber dans l’hérésie.

JE TIENS A PRECISER QUE LA POLUTION EXISTE. QUE LES ECOLOGISTES ONT UNE PLACE IMPORTANTE DANS LA SOCIETE A TENIR MAIS QU’ILS NE DOIVENT PAS TOMBER DANS LA SUPERCHERIE POUR PROMOUVOIR LEURS IDEES.

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